Depuis que j'avais trouvé ce travail de jardinier municipal, ma nouvelle vie à Chicago venait de faire un immense bond en avant. Ce travail me plaisait car j'avais la chance de pouvoir travailler en plein air et de ne pas rester cloîtré derrière un bureau. je n'étais pas d'un naturel organisé alors gérer autant de paperasse serait un véritable calvaire pour moi.
Pour autant, même si je demeurais un peu novice dans la matière, mon amour pour la nature, univers qui m'aura bercé durant toute mon enfance, était si grande que je parvenais à maîtriser un domaine riche et varié. Toutefois, je devais bien reconnaître que cela allait devenir, à la longue, plus une passion qu'un travail. Serait-ce vraiment ce que je souhaiterais faire plus tard ? Encore une question que je me posais à moi-même qui allait demeurer sans réponse pour l'instant.
Quoiqu'il en soit, alors que je maniais ma cisaille pour tailler des arbustes, je perdis mon attention un instant et surtout mon équilibre qui fit que je tomba violemment sur mon bras. Heureusement pour moi, je ne tombais sur ma cisaille. Les dégâts auraient été bien plus graves. Cependant, cela eu pour conséquence de m'envoyer directement à l'hôpital. Arrivé au service des urgences, je m'enregistrais à l'accueil et attendit alors que mon tour arrive et que l'on vienne s'occuper de mon cas.
I don't know what chapter I'm on. I only know where I'm.
by laxy dunbar
Alicia Caldwell-Ricci
⏚ TERRE
A Chicago depuis : 29/09/2024 credit : Blanche-Fireligh À écrit : 36 Date de naissance : : 24/12/1985 Age : : 38
Sujet: Re: Est-ce que je vais mourir, docteure !? [PV ft. Alicia Caldwell-Ricci] Jeu 17 Oct - 17:49
Est-ce que je vais mourir, docteure !?
Il y avait du monde aux urgence, l'on ma demandée d'être présente et un peu un manque de personnel, puis je n'avais pas de cas pour aujourd'hui, je passe de patients en patients en attendant les résultats des uns et des autres, ma journée va être longue. Je suis donc tombée sur le cas d’un bras fracturée ou entorse ou...enfin bref il faudra certainement faire des examens, on me donne le cas et je vais voir mon patient avec un grand sourire, au moins contrairement à ceux que je côtoient, il ne risque pas de mourir. Bonjour Monsieur Butler, pourriez vous me dire ce qui c’est passé exactement ?. Même si j’avais le dossier entre les mains, je préfère avoir directement le discourt du patient qu’n écrit qui a peut être été mal retranscrit. De toute façon j’avais déjà programmé une radio, car je ne pouvais pas le laisser partir ainsi, il faudra peut être plâtrer, et je sais qu’aux urgences l’attente peut être longue très longue. J’avais les constantes sous les yeux, cela allait, pas d’autres maladie en vue. Je réfléchissais déjà tout en écoutant mon patient.