Caractèrecaractère :Au niveau de mon caractère, je suis quelqu’un de plutôt introverti. Je suis assez mal à l’aise avec les gens que je fréquente peu. Mais à force de me piquer, je peux ouvrir une brèche dans ma forteresse et m’extérioriser aux autres. Mais pour cela, il faut du temps. Je parle peu aux gens en général du coup quand je ne les connais pas. Sauf quand cela est nécessaire.

Mon côté introverti se remarque aussi lors de mes déplacements. Je suis dans le bus, au fond, dans ma bulle. Casque sur les oreilles. Au travail, il en est de même. Toujours mes oreillettes sans fil, puisque les trois quarts du temps je bosse seul. Dans mon labo.

Je suis assez discret sur ma vie personnelle. Je ne me cache pas concernant mon homosexualité. Mais je n’irais pas le crier sur tous les toits. Cela ne se voit pas forcement sur mon comportement au premier abord, mais je ne suis pas le dernier à jeter discrètement un coup d’œil sur un garçon qui m’intéresse. Comme au boulot, par exemple…

J’accorde assez peu ma confiance en règle générale. Alors quand vous l’avez, ne me trahissez pas. J’ai beau être un gentil bisounours, doux, rêveur, je peux vriller si votre comportement l’exige.

Info petit plus :

J’ai une allergie sévère à la noix de coco. La simple ingestion de celle-ci me fais réagir. J’en mange ou je bois de l’eau de coco, j’ai des lèvres qui enflent comme l’arrière train d’un babouin.

J’ai un sérieux penchant pour le soda gout bubble-gum. A la limite de l’addiction, pire qu’a caféinomane qui à besoin de sa dose de café. Les gens qui me connaissent savent que si je n’ai pas ma dose dans la journée, je peux être grincheux.

Je porte des lentilles de contact à cause d’une vue moyenne. Excepté pour les écrans ou je dois porter des lunettes. On va éviter de m’esquinter un peu plus la vue…

Tout comme le soda, j’adore le sucre. J’ai toujours un paquet de bonbon sur moi au boulot. Mais je dois avouer qu’il ne fait jamais long feu. Déjà en piochant dedans, puis quand les collègues passent…

Niveau alimentation, je suis plutôt poulet ou poisson. Je ne mange que très peu de viande rouge. Exception faite de la charcuterie, de temps en temps.

Je ne suis pas vraiment fan d’alcool. Ma première et dernière cuite fut assez mémorable. Je préfère donc ne pas retenter l’expérience. Je carbure donc à mon fameux soda bubble-gum.

Je vis seul dans mon appartement. Je vois que très peu de personnes, hormis le squatteur de ma voisine, son chat. Je la côtoie donc assez souvent quand il parasite trop chez moi. Mais bon, je l’aime bien ce gros matou.

Histoire

Kenneth Hanson. 28/12/98.

Voilà ce qui était marqué sur le bracelet autour de mon minuscule poignet.
Je suis né par une nuit froide d’hiver à Chicago, dans une des nombreuses cliniques de la ville.

Mon père est médecin urgentiste. Il rêvait déjà que son fils ainé fasse carrière dans la médecine. Hélas, je ne suivrais pas le destin qu’il avait rêvé pour moi. S’il savait plus tard que je rentrerais dans la police…

Quant à ma mère, elle est gérante d’une société d’informatique. C’est d’ailleurs à se demander d’où est venu ma vocation bien des années plus tard. C’est à l’âge de huit ans, quand je trainais dans ses pattes que ma vocation est née. Je joue aussi énormément aux jeux en lignes depuis cet âge ci. D’ailleurs, je suis assez connu sous le pseudonyme « d’Agent-Kenny ».

Par contre ne me parlez pas de réseaux sociaux. Hormis Facebook, je n’utilise pas les autres plateformes. Instagram ? Non merci. TikTok ? Un nid à emmerdes. Quand j’y vois ce qui y tourne, je préfère m’abstenir. Et même pas une application de rencontres. Même si cela pourrait fortement m’aider, vu mon cote introverti.

A 14 ans alors que j’étais au collège, une attaque a eu lieu. Passionné par tout ce qui est hachage, craquage de divers programmes, j’ai réussi à verrouiller les systèmes de sécurité du collège, depuis la salle de sécurité elle-même. De ce fait, le tireur fut isolé, ce qui avait permis d’éviter un bon nombre de jeunes victimes. De ce fait, je fus repéré par les forces de l’ordre de la ville.

C’est en arrivant au lycée que je me suis rendu compte de mon homosexualité. Après avoir entretenu une relation secrète avec un footballeur dont j’avais des cours de soutien en commun, nous avons rompu. Malgré ma timidité et mon côté introverti, j’étais prêt à officialiser au grand jour notre amour. Hélas, ce n’était pas réciproque, ce qui nous éloigna. Il préférait rester discret.


A la sortie de mes études, un cursus des plus classiques, j’avais à peine 20 ans. J’ai intégré la police en tant que spécialiste IT. j’ai eu la chance de ne pas intégrer d’école de police., mais formé directement sur le tas, en interne, pendant deux ans. Formation avec une équipe de la police scientifique.


Ce n’est qu’à partir de l’année dernière, depuis mes 24 ans, que j’ai passé le permis de port d’armes. Pour tout avouer, je ne l’utilise jamais, et je n’ai guère envie de m’en servir. J’espère ne jamais à le faire. Mais étant la plupart du temps seul, dans mon laboratoire, celle-ci me fait plus office d’apparat qu’autre chose.

Au boulot, tout le monde sait que j’ai une attirance plus que certaine, voire même sure pour les garçons. On m’a aidé à faire des rencontres, mais en vain. Mon côté introverti et geek à du mal à passer. Tous pensent que je suis associable, que je sui casanier. J’aime juste mon calme, ma bulle, ma forteresse. Mais un beau collègue m’intéresse au boulot. Je ne sais pas comment l’aborder, de peur de me prendre un énième râteau…

A l’heure actuelle, je suis l’aine d’une fratrie de trois enfants. J’ai des sœurs jumelles âgées de 23 ans. Avec elles, mon côté introverti s’estompe. Je suis très protecteur, moi-même. Je ne leur cache rien, mais en même temps, elles savent lire en moi tel un livre ouvert. Quand un garçon me fait de l’œil, elles savent lire dans mes yeux, bref, on est fusionnels. Tellement fusionnels qu’on pourrait croire qu’on est triplés. Tellement le lien entre jumeaux et triplés est fort.

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